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il y a 6 ans
Ma première fessée dans institution religieuse
J’ai vécu mes premières années comme une petite sauvageonne, plus assidue à m’amuser qu’à travailler à l’école, mais mes parents, trop indulgents, me pardonnaient tout. Mon joli petit popotin n’avait jamais connu la fessée jusqu’au jour où…
Tout a commencé pour moi, quand mes parents m’ont mise dans une institution religieuse réputée pour la qualité de son enseignement… mais aussi pour la rigueur de sa discipline et la sévérité de ses fessées. Bien sûr, l’uniforme était obligatoire : blouse blanche, tunique bleue, socquettes blanches et souliers noirs vernis.
Avant d’intégrer l’école, je savais déjà un peu à quoi m’attendre car ma cousine Bérangère qui venait d’y terminer ses études m’avait raconté bien des anecdotes assez effrayantes sur la discipline et le genre de châtiments corporels auxquels les filles étaient soumises. Candidement, je me disais qu’elle exagérait et que les Sœurs ne devaient pas être aussi sévères qu’elle le prétendait.
Depuis des lustres, l’école était dirigée d’une main de fer par Sœur Ghislaine que j’avais rencontrée lorsque Maman était venue m’inscrire. C’était une petite femme sans âge et ma cousine m’avait dit qu’elle ne se séparait jamais d’une baguette longue et flexible en rotin, une « cane » anglaise m’avait-elle appris. Elle avait ajouté que « ça fait un mal de chien ». Je me demandais si elle y avait souvent goûté. Sage comme elle l’était, comment pouvait-elle être punie ? Il faut reconnaître que les cinq ans qu’elle avait passés dans cette pension l’avaient bien changée. C’est une des raisons qui avaient décidé mes parents à m’y envoyer, espérant me rendre aussi sage !
L’école comportait deux sections, le petit collège préparant au brevet élémentaire et le grand collège au bac.
Au petit collège, dans chaque classe, une religieuse assurait l’enseignement « classique », des professeurs, laïques pour la plupart, intervenant dans les autres disciplines.
Je devais rentrer dans la classe de Sœur Lumina dont la punition favorite était la fessée à la main… la fessée à 12 ans, voyons donc, et en plus culotte baissée !
Elle m’avait décrit aussi les maîtresses de deux autres classes, Sœur Brigitte et Sœur Thérèse, et annoncé l’arrivée d’une nouvelle, sœur Immaculée.
La doyenne, Sœur Brigitte, était si petite et menue que l’on aurait pu penser que ses fessées étaient inoffensives mais elle utilisait sa longue règle comme une extension de sa main et elle visait bien !
Sœur Thérèse, outre sa classe, assurait les cours de chant dans tout le collège. Bâtie comme une armoire à glace, elle fessait en musique, sifflotant et battant la mesure avec une ceinture sur le derrière de sa victime. « C’est plus poétique ! » aimait-elle à dire !
Mais, voulant me rassurer, candidement je me disais que ma cousine exagérait un peu ses histoires et que les sœurs ne devaient pas être aussi sévères qu’elle le prétendait.
Le jour de la rentrée, toutes les élèves s’étaient mises en rangs dans la cour et j’essayais de m’étirer le cou pour voir les autres professeurs.
« Aie ! Que ça fait mal ! »
« Tiens-toi tranquille et droite sinon… »
Je venais de recevoir une de ces claques derrière la tête ! C’était Sœur Ghislaine. Me faire remarquer dès le premier jour, c’était bien ma chance ! Mais je me disais que dans le fond, je l’avais échappé belle car elle avait sa cane en main comme un bâton de commandement.
Soudain, j’aperçois une fille qui sortait du rang. La réaction de sa maîtresse, une jeune sœur qui ne pouvait être que sœur Immaculée, ne se fit pas attendre. Elle se précipita sur elle en sortant un martinet de cuir de la poche de son tablier et lui cinglât par trois fois les mollets.
Nous savions toutes, alors, que Sœur Immaculée était une adepte du martinet ! Juste à cette pensée, je serrais les fesses de trouille, moi, qui à part quelques claques sur le postérieur, n’avait jamais goûté à une vraie fessée.
La sœur-directrice monta sur le perron et nous fit un discours que, naïvement, je crus être un discours de bienvenue, mais je déchantai vite !
« Bonjour à toutes ! Bienvenue à l’École Sainte-Marie. Pour celles qui ne me connaissent pas encore, je suis sœur Ghislaine, la directrice. Si vous travaillez bien, vous ne serez pas malheureuses ici mais si vous ne suivez pas le droit chemin, nous vous ferons la vie dure ! Moins, vous me rencontrerez en particulier, mieux se porteront vos postérieurs ! Croyez-moi ! »
Elle semblait se délecter en prononçant ces mots.
« Pourquoi tous ces visages surpris ? Vos parents vous ont confiées à nous pour étudier et, de gré ou de f o r c e , nous vous ferons étudier ! Nous ne tolérerons aucune contestation et si vous devez être punie, je vous conseille de vous soumettre de bon gré, si vous ne voulez pas que votre punition soit doublée ! Maintenant, en classe, mesdemoiselles ! Suivez vos professeurs ! »
Quel discours inaugural ! J’en avais la chair de poule. Bérangère m’avait bien prévenu qu’il se disait entre les élèves qu’elle donnait plus de coups de cane qu’elle ne prononçait de mots dans une journée !
Sur le chemin de la classe, deux filles furent surprises à bavarder malgré la consigne de sœur Lumina qui nous avait recommandé le plus grand silence dans les rangs.
« Silence, mesdemoiselles ! Sachez qu’ici, toute désobéissance est punie d’une fessée suivie d’un temps de piquet à genoux ! Mais comme c’est le jour de la rentrée, je serai indulgente et je vous épargnerai la fessée, mais vous ne serez pas dispensées du piquet. »
Arrivées dans la classe, la maîtresse fit l’appel et nous attribua les pupitres par ordre alphabétique. Lorsque nous fûmes toutes placées, elle nous autorisa à nous asseoir tandis que les deux qui s’étaient fait remarquer durent se mettre à genoux à côté de leur banc. Deux élèves punies dès la première minute, cela promettait !
Elle nous dit ensuite quelques mots de bienvenue… enfin si l’on peut dire !
« Vous êtes ici pour travailler ! Je considérerai comme un échec personnel si vous n’acquerrez pas toutes les connaissances voulues pour passer dans la classe supérieure. Si le programme ne rentre pas dans vos têtes, c’est par les fesses que je vous le ferai rentrer ! »
Ensuite, sœur Lumina nous fit recopier sur nos cahiers, en le commentant, le règlement de l’école (en fait, plutôt une liste de punitions !) qu’elle avait calligraphié au tableau. Je dus me pincer pour être sûre que je ne rêvais pas. Nous étions penchées sur notre feuille tandis que nos compagnes punies, toujours à genoux, écrivaient sur leur cahier posé sur leur siège. Les pauvres, on voyait sur leur visage comme ce devait être douloureux !
Je cite le règlement de mémoire :
Chaque incartade (désobéissance, insolence, impolitesse, paresse…) sera inscrite sur le registre des punitions et punie d’une fessée entièrement déculottée.
Là, elle crut bon d’ajouter un commentaire qui ne dérida aucune de nous :
« Estimez-vous heureuses, mesdemoiselles, d’être dans ma classe ! Les autres sœurs utilisent un instrument de correction pour ménager leurs mains ! Et vous avez intérêt à vous soumettre de bonne grâce si vous n’avez pas envie que je double votre punition ! »
La sœur-directrice passe régulièrement dans les classes pour consulter les registres des punitions et peut décider d’une punition supplémentaire.
La classe assistera à l’exécution dans le plus grand silence et il est souhaitable que la correction de l’une serve de leçon aux autres.
Après la fessée, l’élève punie ira au coin pour se repentir de son inconduite.
Si une élève mérite plusieurs fessées dans la même journée, elle terminera sa punition à genoux dans le couloir.
« Et vous pourrez espérer de toutes vos f o r c e s que sœur Ghislaine ne passe pas juste à ce moment là ! »
Les fautes particulièrement graves ou les incartades à répétition seront punies de manière exemplaire. Le samedi matin est le jour de la « grande punition » au gymnase où les fautives sont fouettées sur leur derrière nu devant toute l’école rassemblée.
« Vous êtes prévenues, et si nous devons vous punir, il ne faudra vous en prendre qu’à vous ! »
« Maintenant, nous allons faire une dictée préparée. Prenez vos livres de français à la page 8. Je vous laisse dix minutes pour étudier le vocabulaire et me poser toutes les questions que vous voudrez. Pour votre première dictée, j’ai choisi un texte simple donc je ne tolérerai aucune faute et le barème sera d’un coup de règle sur les doigts par faute. »
Ce n’était pas mon jour de chance, le français n’étant pas mon fort !
Nous relisions notre travail quand sonna enfin l’heure de la récréation.
« Mesdemoiselles, apportez vos cahiers sur mon bureau ! Je corrigerai vos dictées pendant la récréation. »
La récréation fut bien morne : nous étions toutes assommées et rêveuses. A notre retour, la maîtresse retint sur l’estrade quelques filles, dont moi, et autorisa les autres à aller s’asseoir.
Elle commença par moi :
« Approche Évangéline ! Main droite tendue et paume vers le haut, c’est celle qui a écrit que je dois punir ! Compte Évangéline, compte ! »
« Oui, ma sœur… Un… deux… ouille… trois ! »
« Au moins, tu sais compter ! Eh oui, trois fautes sur ces quelques mots. Tu vas avoir mal aux mains ma chère cette année ! »
« Je ne suis pas votre chère… Oh ! Pardon, ma sœur ! Ça m’a échappé… »
« Au coin, mademoiselle! Vos fesses vont regretter votre impertinence ! »
« Non, ma sœur, s’il vous plaît ! »
« Double punition, mademoiselle ! Vous avez déjà oublié le règlement ! »
Une seconde plus tard, j’étais au coin à genoux, vaincue. Ah que j’avais la trouille ! Et pendant ce temps, toutes ces élèves qui recevaient leurs coups de règle, ce que cela me parut long ! On aurait entendu une mouche voler. Je redoutais ce qui m’attendait et, en même temps, j’avais envie de lui crier de commencer pour que ça finisse plus vite ! Enfin, sœur Lumina m’ordonna :
« Debout Évangéline ! Tourne-toi et baisse ton pantalon aux chevilles ! »
Je ne pus retenir mes larmes en m’exécutant.
« Oh, les jolies petites fesses bien blanches… mais par pour longtemps ! As-tu déjà reçu une fessée Évangéline ? »
« Jamais déculottée, ma sœur ! »
« Donc, ce sera la première ! On va s’arranger pour que tu t’en rappelles toujours de ta première fessée. N’est-ce pas ? »
Je restais muette, ne sachant quoi répondre.
« J’ai dit : n’est-ce pas ? »
« Oui, ma sœur ! »
Elle me fit m’allonger sur ses genoux et la fessée commença. Elle claquait et reclaquait. Les fesses, le haut des cuisses, les côtés, tout y passait. Des claques, j’en reçus une bonne cinquantaine dans le plus profond silence. Je sentais mes copines tétanisées de peur. Je pleurais après la première dizaine, suppliant après la deuxième et capitulant à la cinquième. Et puis enfin, la sœur s’arrêta et, sans me laisser remonter ma petite culotte, elle m’envoya au coin. Je n’aurais jamais cru que l’on pouvait fesser aussi longtemps et avec une telle f o r c e . Mais l’humiliation continua par une série de questions, sœur Lumina voulant prouver qu’elle avait vaincu mon impertinence.
« Pourquoi pleures-tu, Évangéline ? »
« Parce que j’ai mal, ma sœur ! »
« Mal… mais mal où, mon e n f a n t ? »
« Aux fesses, ma sœur. »
« Et pourquoi, as-tu mal ? »
« Parce que vous m’avez bien… m’avez donné la…ben… la fessée. »
« Et pourquoi je te l’ai donnée cette fessée ? »
« Parce que j’ai été impertinente, ma sœur. »
« Bien ! On est donc d’accord sur le motif à inscrire dans le registre des punitions ! »
« Oui, ma sœur. »
Elle s’assit pour remplir le cahier, puis elle recommença à jouer avec mes nerfs tandis que j’étais toujours à genoux, mes fesses nues exposées au regard des autres.
« Ma chère ! Te rappelles-tu de notre règlement ? »
« Oui, ma sœur. »
« Et quel est-il ? »
« Que… je… méritais une double punition. »
« Eh bien ma chère, tu comprends vite ! Qu’est-ce que je dois inscrire maintenant ? »
« DÉSOBÉISSANCE, ma sœur. »
« Je vais être gentille ! Pour ta première journée, tu resteras au coin ici, je te fais grâce du corridor. »
« Merci ma sœur ! »
« De toute façon, tes fesses, rouges comme elles sont, t’aideront à réfléchir pendant quelques jours. »
Je fus délivrée un bon quart d’heure plus tard quand la sœur eut besoin du coin pour une autre élève. En regagnant mon pupitre, je me disais que mes fesses se rappelleraient toujours de ce début d’année.
Dans mon malheur, j’avais eu la chance de ne pas aller dans le couloir attendre le passage de la directrice et de sa « cane », mais malheureusement… j’y suis passée quelques jours plus tard.
Mais c’est une autre histoire ! Sans parler de la pénitence du pilori dont je fis également la connaissance.
Sa cousine l'avait prévenue pourtant,! |
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